Dictée pour tous – Mardi 29 avril 2025
Photographies de la dictée du 14 janvier 2025
Le mardi 29 avril 2025 une dictée, ouverte à tous, est organisée.
À 13h45 Il y aura de nombreuses personnes présentes à la dictée pour tous organisée par Loisirs Amitié.
C’est une très bonne nouvelle !
Le principe de ce type de dictée est qu’il n’y a pas de notion de résultat/concours.
Chacun corrige son propre texte.
Ce n’est qu’un exercice pour se divertir et exercer sa mémoire.
Le personnes présentes s’exerceront sur une dictée, parfois facile parfois un peu plusdifficile, préparée par Bernadette Marchadour, Jean-Claude Salaun et Marie Pierre Cloitre à la diction, aidés par Jacques Hennetier à la technique.
Après une auto-correction faite en commun, une série de questions portant sur de nombreux sujets divers (culturel, géographie, sport, etc) sera été proposée.
Le traditionnel goûter, servi sur place, clôturera ce bel après-midi.
Remerciements aux intervenants qui, eux, ne participent pas et sont au service des participants.
Le texte de la dictée (proposé en dictée nationale en 2024) du 14 janvier. Dictée difficile, surtout que le manque de ponctuation est gênant pour la compréhension :
En cet automne déjà bien avancé des voiles diaphanes de brouillard s’envolaient du lac Léman installant une atmosphère irréelle sur les pentes du Chablais.
La nature oubliait les couleurs coruscantes de l’été pour se réfugier dans une palette de teintes austères faisant de-ci de-là le lit de l’hiver approchant. Les sapins se serraient frileusement sur les contreforts dominant le lac surveillés par les carcasses fantomatiques des mélèzes maintenant dépourvus de leurs aiguilles.
Dans cette ambiance quelque peu délétère liée aux prémices de l’hiver. Clémence attablée sur la terrasse en parpaing de son petit chalet observait la nature censée l’accueillir dans son exil urbain.
Une petite clairière sympathique entourait les lieux isolés au bout d’un chemin à peine carrossable. Clémence avait suivi les conseils avisés d’une collègue de travail qui lui avait vanté le caractère curatif de l’isolement pour soigner sa dysphorie.
La main perdue dans ses cheveux auburn elle se remémorait l’histoire de ses amours partagées avec son conjoint Pierre qui avait cédé à ses appas mais était désormais rayé de sa vie.
Les yeux noisette de Clémence étaient souvent embués de larmes. Elle s’était imaginée heureuse avec cet artiste si différent de ses fréquentations professionnelles qui lui apportait une touche originale à elle si cartésienne.
Elle aurait voulu qu’il devint le mari qu’elle avait toujours recherché ; elle se souvenait des conseils de sa grand- mère qui lui recommandait de se munir de garde-fous avant de s’engager et les savoir- faire des aïeules sont souvent judicieux.
Clémence avait succombé aux yeux vairons de son amant et perdu un esprit critique exacerbé dû à ses fonctions de directrice des ressources humaines.
Elle s’était fait surprendre par l’originalité d’une personne fantasque isolée dans son monde qui s’était plu à l’étonner en l’entrainant dans des domaines abscons.
Hélène BOURJAILLAT
Le texte à trous (remplacer les ‘……..’ par le nom d’un département) :
J’étais assis au bar en train de boire un ……………….
Tandis que je regardais un clochard faire la …………………., une dame vint s’asseoir près de moi. Elle portait un manteau de ……………….. et je fus très impressionné car je savais que …………et……………. .
Nous engageâmes la conversation et ce qui me charma chez elle furent ……………. et ses yeux ………………..
Au bout de quelques minutes, elle me demanda de monter. Il fallut donc que je ………… et j’acceptai sans crier………..
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En fait cette fille était vraiment……………… et on s’amusa jusqu’à ………………
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Elle fut si contente de ce repas qu’elle m’appela son…………………
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Elle me demanda aussitôt la……………… ………que je refusais de payer, trouvant que c’était trop……………..
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Je vis dans ses yeux beaucoup de ………………. Et à cet instant, j ‘aurais bien eu besoin d’un …………… car elle me lança son sac au visage et me donna un coup de pied dans le……………………….
Tout fini par s’arranger, mais à des histoires pareilles, elle………….. que l’on ne l’y reprendrait pas
Le texte à trous (correction) :
J’étais assis au bar en train de boire un calvados
Tandis que je regardais un clochard faire la manche une dame vint s’asseoir près de moi. Elle portait un manteau de loire et je fus très impressionné car je savais que le loir et cher.
Nous engageâmes la conversation et ce qui me charma chez elle fut savoie et ses yeux doubs.
Au bout de quelques minutes, elle me demanda de monter. Il fallut donc que je vienne et j’acceptai sans crier gard elle ne perdit pas le nord. Nous entrâmes dans sa chambre, et à peine arrivés elle se déshabilla. Ses seins étaient magnifiques, elle les aveyron.
En fait cette fille était vraiment gironde et on s’amusa jusqu’à l’aube.
L’exercice ça creuse aussi au petit matin, je lui proposai du jambon, du saucisson et du cantal.
Elle fut si contente de ce repas qu’elle m’appela son hérault
Un peu fatiguée, elle me demanda l’eure mais c’est là que l’histoire se corse
Elle me demanda aussitôt la somme que je refusais de payer, trouvant que c’était trop cher.
Elle me fit alors une terrible seine .Je vis dans ses yeux beaucoup de aisne. Et à cet instant, j‘aurais bien eu besoin d’un allier car elle me lança son sac au visage et me donna un coup de pied dans le bas rhin.
Tout fini par s’arranger, mais à des histoires pareilles, elle jura que l’on ne l’y reprendrait pas .
Date, heure et lieu :
Le mardi 14 janvier 2025, 13h45, salle 1 de l’Espace culturel